SENAT : Le Président du Sénat Modeste BAHATI à Kisangani pour accueillir la dépouille de LUMUMBA, Héros National.

La dépouille mortelle du tout Premier Ministre Patrice Emery LUMUMBA dès l’accession de la RDC à son indépendance venait de passer à la première étape de présentation dans la ville de Kisangani lors d’une cérémonie officielle à laquelle le Président du Sénat Congolais et Autorité morale du Parti politique d’Alliance des Forces Démocratiques du Congo, Professeur MODESTE BAHATI LUKWEBO a été le Représentant personnel de son Excellence Monsieur le Président de la République FÉLIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO.

Arrivée à Kisangani dans l’un des avions de la Compagnie Congo Airways à l’effigie de Lumumba, le président du Sénat a été chaleureusement accueilli à l’aéroport de Bangoka, bénéficiant des honneurs de son rang. Gouverneur de province, tous les officiels tant civils que militaires ainsi que les cadres et militants de son parti politique AFDC-A, ont été au pied de l’avion pour saluer la présence du Représentant du Président.


L’Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Allies, une deuxième force dans la scène politique Congolaise, Le Président statutaire BAHATI LUKWEBO a été surpris par une bain de foule à l’extérieur de l’aéroport qui l’attendait, scandant des chants, une façon pour elle de lui souhaiter la bienvenue à Kisangani Boyoma. Dans la foule, on pouvait également apercevoir au côté de drapeau rouge et blanc de l’AFDC, plusieurs drapeaux d’autres partis politiques membres de l’union sacrée de la Nation.

Arrivé à l’hôtel Congo palace situé au centre ville à Makiso, le Représentant personnel du Chef de l’État a présidé la réunion du comité d’accueil à quelques heures de l’arrivée de la dépouille mortelle de Patrice Emery Lumumba à Kisangani.

Dans son adresse, le Président du Sénat Congolais a salué les efforts consentis par le Chef de l’État Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO grâce à sa diplomatie agissante pour enfin permettre au Père de l’indépendance reposer dans la terre de ses ancêtres, soixante ans après son massacre par des colons belges.
James KABWE